Il a travaillé sur Wiligut et l'Ahnenerbe. https://www.voxnr.fr/lhistoire-comme-destin-une-conversation-avec-javier-nicolas
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L'histoire comme destin. Une conversation avec Javier Nicolás - Voxnr.fr
Né à Barcelone en 1960, titulaire d'un doctorat en histoire de l'UAM et d'une maîtrise en sociologie et sciences humaines de l'université de Comillas, Javier Nicolás s'intéresse très tôt à l'histoire et parcourt l'Europe pour recueillir les témoignages des…
Forwarded from Evrazia
"Il faut avoir confiance, car on observe qu’aujourd’hui l’histoire ressemble à un cheval qui court au galop. Nous devons apprendre à la prochaine génération la réalité suivante : de Brest, à la pointe de la Bretagne, jusqu’à Providenia, sur le détroit de Behring, existe l’espace vital d’un même peuple : le nôtre. Marx disait : « prolétaires de tous les pays, unissez-vous ! ». Murmurons plutôt : « Blancs de tous les pays, unissez-vous ! Autour de la confédération impériale euro-russe.Et réfléchissons dès aujourd’hui à sa future organisation, car les idées font leur chemin dans l’Histoire, comme les vers dans les fruits mûrs."
— Guillaume Faye, Euro-Russie : bases concrètes d’une future confédération impériale, Intervention au Colloque White Forum à Moscou, 20 juillet 2007.
— Guillaume Faye, Euro-Russie : bases concrètes d’une future confédération impériale, Intervention au Colloque White Forum à Moscou, 20 juillet 2007.
Forwarded from Jean-Eudes Gannat
Il n'est guère à la mode de rendre hommage aux émeutiers du 6 février 1934, tandis qu'on aime à raison inonder les réseaux sociaux de Poilus tous les 11 novembre, en accompagnant cela de déclarations reconnaissantes et de promesses de défendre la Patrie contre les nouveaux envahisseurs.
Pourtant, s'il est normal que les Français lambdas soient aujourd'hui absorbés par leurs problèmes du quotidien, les émeutiers de cette terrible journée méritent d'autant plus l'hommage des militants qu'après avoir échappé à l'enfer de la Grande Guerre, ils ne se sont pas contentés de rentrer chez eux profiter de la vie sans se soucier de la France. Ils ont tiré les conclusions qui s'imposaient suite à l'horreur de 14-18, ils ont compris que derrière la puissance allemande, il y avait surtout la faiblesse française, et que derrière cette faiblesse, il y avait des traîtres, un régime nihiliste, des profiteurs financiers et apatrides.
Et de ces conclusions ils ont tiré une volonté d'agir, et préféré mourir sous les balles francaises dans une émeute qu'ils espéraient convertir en coup d'Etat que d'accepter passivement un joug insupportable. "Aimer, c'est agir" écrivit Victor Hugo quelques jours avant de mourir.
On peut gloser sur l'échec annoncé d'une émeute spontanée et en tirer les théories révolutionnaires qu'on voudra : si implacable que soit la répression, il n'y a que le courage qui fait trembler les Puissants. Tout le reste -stratégies, querelles doctrinales, formations politiques- restera parfaitement futile tant que ça ne reposera pas sur un minimum de testostérone et de courage intellectuel.
Et c'est sans conteste ce qui manque le plus à notre époque.
Il vaut mieux regarder le monde dans les yeux avec les lunettes brisées d'un poète de génie tué injustement que de baisser la tête devant les imposteurs, "dans l'espoir de"...
Pourtant, s'il est normal que les Français lambdas soient aujourd'hui absorbés par leurs problèmes du quotidien, les émeutiers de cette terrible journée méritent d'autant plus l'hommage des militants qu'après avoir échappé à l'enfer de la Grande Guerre, ils ne se sont pas contentés de rentrer chez eux profiter de la vie sans se soucier de la France. Ils ont tiré les conclusions qui s'imposaient suite à l'horreur de 14-18, ils ont compris que derrière la puissance allemande, il y avait surtout la faiblesse française, et que derrière cette faiblesse, il y avait des traîtres, un régime nihiliste, des profiteurs financiers et apatrides.
Et de ces conclusions ils ont tiré une volonté d'agir, et préféré mourir sous les balles francaises dans une émeute qu'ils espéraient convertir en coup d'Etat que d'accepter passivement un joug insupportable. "Aimer, c'est agir" écrivit Victor Hugo quelques jours avant de mourir.
On peut gloser sur l'échec annoncé d'une émeute spontanée et en tirer les théories révolutionnaires qu'on voudra : si implacable que soit la répression, il n'y a que le courage qui fait trembler les Puissants. Tout le reste -stratégies, querelles doctrinales, formations politiques- restera parfaitement futile tant que ça ne reposera pas sur un minimum de testostérone et de courage intellectuel.
Et c'est sans conteste ce qui manque le plus à notre époque.
Il vaut mieux regarder le monde dans les yeux avec les lunettes brisées d'un poète de génie tué injustement que de baisser la tête devant les imposteurs, "dans l'espoir de"...
Forwarded from Libertas
« Les derniers coups de feu continuent de briller
Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.
Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?
Je pense à vous ce soir, ô morts de février. »
— Robert Brasillach, « Aux morts de février » (1er février 1945)
Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres.
Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ?
Je pense à vous ce soir, ô morts de février. »
— Robert Brasillach, « Aux morts de février » (1er février 1945)
Forwarded from Evrazia
« Le christianisme a pénétré dans les esprits des peuples occidentaux par l’enseignement de la seule Église romaine ; en Russie, il s’est allumé aux lumières de l’Église orthodoxe tout entière. La théologie en Occident prit le caractère d’une abstraction ratiocinante ; dans le monde orthodoxe elle conserva l’intégrité intérieure de l’esprit. »
— Ivan Kireïevski, « Du caractère de la culture européenne et de ses rapports avec la culture russe », Collection de Moscou, 1852
— Ivan Kireïevski, « Du caractère de la culture européenne et de ses rapports avec la culture russe », Collection de Moscou, 1852
Forwarded from Libertas
« Maintenant, je marcherai avec n’importe quel type qui foutra ce régime par terre, avec n’importe qui, à n’importe quelle condition. »
— Pierre Drieu la Rochelle, Gilles (1939)
— Pierre Drieu la Rochelle, Gilles (1939)
Forwarded from 𝑬𝒖𝒓𝒐𝒑𝒆𝒂𝒏 𝑺𝒐𝒄𝒊𝒂𝒍𝒊𝒔𝒎
fasc-article-p1_1 4.pdf
1.2 MB
The Pan-Fascist Paradox: How Does a Nationalist-Minded Fascist Think Transnationally?
by Aron Brouwer
To better understand cross-border fascist solidarity, this article suggests a new conceptual framework revolving around the term ‘pan-fascism’ and its ‘paradox’. It argues that the existence or non-existence of a pan-fascist ‘paradox’ in the minds of historical fascists is a matter of optics, as it all depends on who is mobilizing the notion of fascist transnationalism. Because of such optical issues, which all must be unpacked historically, the conceptual framework of ‘pan-fascism’ does not offer a simple solution. It, rather, puts emphasis on a key question: how did certain fascists, at various moments in their lives, think about the possibility of fascist transnationalism? This paper takes the work, thought, and practices of the French editors of Je suis partout as a case study, and demonstrates how they attempted to reconcile their commitment to French nationalism with fascist transnationalism.
by Aron Brouwer
To better understand cross-border fascist solidarity, this article suggests a new conceptual framework revolving around the term ‘pan-fascism’ and its ‘paradox’. It argues that the existence or non-existence of a pan-fascist ‘paradox’ in the minds of historical fascists is a matter of optics, as it all depends on who is mobilizing the notion of fascist transnationalism. Because of such optical issues, which all must be unpacked historically, the conceptual framework of ‘pan-fascism’ does not offer a simple solution. It, rather, puts emphasis on a key question: how did certain fascists, at various moments in their lives, think about the possibility of fascist transnationalism? This paper takes the work, thought, and practices of the French editors of Je suis partout as a case study, and demonstrates how they attempted to reconcile their commitment to French nationalism with fascist transnationalism.
Forwarded from Arktos
“Under Stalin’s leadership, the Soviet Union transitioned from the revolutionary internationalism of Lenin to a distinctly national and ethnopluralist orientation. This shift was encapsulated in Stalin’s principle of ‘building socialism in one country,’ which prioritized the solidification of socialism within the Soviet state over global revolutionary aims. Unlike Lenin’s insistence on the universality of the proletarian struggle, Stalin recognized the significance of national identities, cultures, and traditions as integral to the socialist project. His policies embraced the idea that socialism could and should develop within the framework of distinct national forms, a reflection of his understanding of the ethnic and cultural spectrum of the Soviet Union.”
— Constantin von Hoffmeister, MULTIPOLARITY!
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