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La France en 2025 avec deux députés "français" de la republique. (Delogu et Boyard de LFI).
Extrait : Quarante millions de pétainistes - Henri Amouroux
« Lorsque les pays sont vainqueurs, ils mettent les généraux de côté et le pouvoir politique exerce toute son autorité. Lorsque les pays sont battus, ils ont toujours recours à un vieux Maréchal qu’ils mettent là parce que ce n’est pas inutile !…
Maxime Weygand.
Juin 1949. »
« Lorsque les pays sont vainqueurs, ils mettent les généraux de côté et le pouvoir politique exerce toute son autorité. Lorsque les pays sont battus, ils ont toujours recours à un vieux Maréchal qu’ils mettent là parce que ce n’est pas inutile !…
Maxime Weygand.
Juin 1949. »
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Jacques Attali dans le livre Europe (s)
"Si la France est chrétienne, atlantique et européenne, elle est aussi musulmane, méditerranéenne et africaine."
"Si la France est chrétienne, atlantique et européenne, elle est aussi musulmane, méditerranéenne et africaine."
Pour rappeler aux gauchistes :
Quand les socialistes de la 3ème république mettaient en place des camps d'internement pour immigrés clandestins.
1939 – Les premiers camps français. L’internement des réfugiés espagnols de la Retirada - Marie Rafaneau-Boj
https://www.persee.fr/doc/chral_1167-4733_2008_num_12_1_882
Quand les socialistes de la 3ème république mettaient en place des camps d'internement pour immigrés clandestins.
1939 – Les premiers camps français. L’internement des réfugiés espagnols de la Retirada - Marie Rafaneau-Boj
https://www.persee.fr/doc/chral_1167-4733_2008_num_12_1_882
Préparatifs secrets en Métropole
En effet, dès le début de juillet 1940, quelques jours seulement après la signature de l’Armistice, le général Weygand, ministre de la Défense Nationale et le général Colson, ministre de la Guerre avaient envoyé des instructions ultra-secrètes pour que l’on camouflât, dans des cachettes, le plus possible d’armes et de matériels non autorisés. Le camouflage du matériel soustrait à la surveillance des commissions de contrôle fut entrepris, dès le début de juillet, sur une grande échelle, sous la direction du commandant Moillard de l’État-Major de l’Armée. Ce camouflage, le général Picquendar, lorsqu’il prit la direction de l’État-Major de l’Armée, en octobre 1940, eut à le superviser. Aussi, lors du procès du Maréchal, put-il non seulement révéler toute l’importance de ce camouflage, mais déclarer qu’il avait été exécuté avec l’assentiment du Maréchal. Et le Général précisa que vers le mois de janvier 1942, le Maréchal le félicita et lui dit « de continuer parce que nous n’aurions jamais une armée française trop bien armée ».
Ce camouflage allait nous permettre, dans le courant de 1941, d’envisager le détriplement de l’Armée de l’Armistice en vue d’une rentrée dans le conflit. Ce détriplement fut préparé dans le plus grand secret ; il devait permettre de former vingt-quatre divisions légères d’Infanterie. Mais il est certain que la résistance de ces grandes unités, dépourvues de matériels antichars, ne pouvait être envisagée que dans certains réduits naturels (les Alpes en particulier) et ne pouvait être de longue durée.
Tous ces efforts devaient être annihilés lors du débarquement américain en Afrique du Nord. Aussi ne nous étendrons nous pas davantage sur l’Armée de l’Armistice métropolitaine, puisqu’elle devait être dissoute en novembre 1942, sans avoir pu accomplir les tâches auxquelles elle se préparait. Elle a néanmoins fourni, par la suite, à la résistance, ses meilleurs cadres. Et c’est pourquoi est-il nécessaire de faire connaître de quel esprit elle avait été précédemment animée.
André Laffargue. La victoire du "vieux renard" (pp. 96-97).
En effet, dès le début de juillet 1940, quelques jours seulement après la signature de l’Armistice, le général Weygand, ministre de la Défense Nationale et le général Colson, ministre de la Guerre avaient envoyé des instructions ultra-secrètes pour que l’on camouflât, dans des cachettes, le plus possible d’armes et de matériels non autorisés. Le camouflage du matériel soustrait à la surveillance des commissions de contrôle fut entrepris, dès le début de juillet, sur une grande échelle, sous la direction du commandant Moillard de l’État-Major de l’Armée. Ce camouflage, le général Picquendar, lorsqu’il prit la direction de l’État-Major de l’Armée, en octobre 1940, eut à le superviser. Aussi, lors du procès du Maréchal, put-il non seulement révéler toute l’importance de ce camouflage, mais déclarer qu’il avait été exécuté avec l’assentiment du Maréchal. Et le Général précisa que vers le mois de janvier 1942, le Maréchal le félicita et lui dit « de continuer parce que nous n’aurions jamais une armée française trop bien armée ».
Ce camouflage allait nous permettre, dans le courant de 1941, d’envisager le détriplement de l’Armée de l’Armistice en vue d’une rentrée dans le conflit. Ce détriplement fut préparé dans le plus grand secret ; il devait permettre de former vingt-quatre divisions légères d’Infanterie. Mais il est certain que la résistance de ces grandes unités, dépourvues de matériels antichars, ne pouvait être envisagée que dans certains réduits naturels (les Alpes en particulier) et ne pouvait être de longue durée.
Tous ces efforts devaient être annihilés lors du débarquement américain en Afrique du Nord. Aussi ne nous étendrons nous pas davantage sur l’Armée de l’Armistice métropolitaine, puisqu’elle devait être dissoute en novembre 1942, sans avoir pu accomplir les tâches auxquelles elle se préparait. Elle a néanmoins fourni, par la suite, à la résistance, ses meilleurs cadres. Et c’est pourquoi est-il nécessaire de faire connaître de quel esprit elle avait été précédemment animée.
André Laffargue. La victoire du "vieux renard" (pp. 96-97).
François-Georges Dreyfus - Passions républicaines 1870-1940. p203-204
Cette passivité incite Français et Anglais à signer à Munich une fausse paix. Comment expliquer de telles légèretés ?
Les accords de Munich se placent dans la même perspective que précédemment. Après l'Anschluss de l'Autriche au Reich (mars 1938), Paris et Londres n'ont réagi que par de vagues protestations.
Il est évident que le problème des Sudètes va très vite se poser. Or si la France a un traité d'alliance avec la Tchecoslovaquie ce n'est pas le cas de Londres qui n'a jamais été très favorable à l'État tchèque. Il apparaît qu'au-delà de toutes les rodomontades, la Grande-Bretagne ne bougera pas et cherchera simplement à trouver une solution convenable». Dès lors, la France peut-elle agir seule? C'est l'objet d'un débat qui n'est pas prêt d'être clos. L'armée tchèque est une armée sur qui on peut compter. Elle dispose de 12 divisions d'infanterie, de près de 300 blindés Skoda d'excellente qualité qui en 1940 équiperont deux des dix Panzerdivisionen allemandes! et de 550 avions de combat. Elle pourrait être pour la Wehrmacht une adversaire plus redoutable que ne le sera l'armée polonaise un an plus tard.
Le problème, c'est l'armée française: en 1938 elle n'est pas beaucoup mieux armée qu'en mars 1936, elle manque de chars, de blindés légers, d'avions, de canons antichars et d'artillerie anti-aérienne! Or l'armée allemande de 1938 n'est plus celle de 1936 constituée de toutes jeunes recrues, manquant d'officiers. En 1938, la Wehrmacht a su se préparer. Il y a suffisamment d'hommes pour avoir à côté des 32 divisions d'active, autant de divisions de réserve disposant d'un matériel moderne en particulier en chars et en avions.
En octobre 1937, Hitler a décidé la création d'une armée blindée de dix divisions à mettre sur pied d'ici le printemps 1940. Au moment de l'Anschluss, deux ont participé à l'invasion de l'Autriche et deux autres ont été constituées pendant l'été dont l'une à partir des moyens fournis par l'Autriche.
Hitler peut-il se battre sur deux fronts? Cela paraît poser problème au général Beck, chef d'état-major de l'armée allemande qui est très hostile à une intervention dans les Sudètes et qui prépare un coup d'État au cas où Hitler déciderait d'attaquer.
Tenant à respecter le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, le Premier ministre anglais Chamberlain envoie en mission Lord Runciman qui, à son retour, justifie quasiment les revendications du Reich. Chamberlain va rencontrer Hitler par deux fois et lui fera comprendre qu'il n'a pas l'intention d'intervenir. Gamelin estime que l'armée française sans une aide anglaise ne peut rien faire d'autant que le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Vuillemin, retour du Reich, est convaincu que notre aviation ne tiendrait pas quinze jours face à la Wehrmacht. Dès lors la France accepte la médiation italienne et à Munich, les 29-30 septembre, elle consent au dépècement de la Tchecoslovaquie.
Ajoutons - et cela permet de mieux comprendre les carences françaises - que lorsque l'état-major de l'armée française apprend au printemps 1938 l'existence du plan allemand de 10 divisions blindées, le général Gamelin préconise la mise sur pied de 6 divisions cuirassées, 3 d'active, 3 de réserve. Le président Daladier refuse les divisions d'active et n'accepte que 3 divisions de réserve, et Gamelin obtempère. Il n'y a donc rien de prêt en septembre 1938!
Cette passivité incite Français et Anglais à signer à Munich une fausse paix. Comment expliquer de telles légèretés ?
Les accords de Munich se placent dans la même perspective que précédemment. Après l'Anschluss de l'Autriche au Reich (mars 1938), Paris et Londres n'ont réagi que par de vagues protestations.
Il est évident que le problème des Sudètes va très vite se poser. Or si la France a un traité d'alliance avec la Tchecoslovaquie ce n'est pas le cas de Londres qui n'a jamais été très favorable à l'État tchèque. Il apparaît qu'au-delà de toutes les rodomontades, la Grande-Bretagne ne bougera pas et cherchera simplement à trouver une solution convenable». Dès lors, la France peut-elle agir seule? C'est l'objet d'un débat qui n'est pas prêt d'être clos. L'armée tchèque est une armée sur qui on peut compter. Elle dispose de 12 divisions d'infanterie, de près de 300 blindés Skoda d'excellente qualité qui en 1940 équiperont deux des dix Panzerdivisionen allemandes! et de 550 avions de combat. Elle pourrait être pour la Wehrmacht une adversaire plus redoutable que ne le sera l'armée polonaise un an plus tard.
Le problème, c'est l'armée française: en 1938 elle n'est pas beaucoup mieux armée qu'en mars 1936, elle manque de chars, de blindés légers, d'avions, de canons antichars et d'artillerie anti-aérienne! Or l'armée allemande de 1938 n'est plus celle de 1936 constituée de toutes jeunes recrues, manquant d'officiers. En 1938, la Wehrmacht a su se préparer. Il y a suffisamment d'hommes pour avoir à côté des 32 divisions d'active, autant de divisions de réserve disposant d'un matériel moderne en particulier en chars et en avions.
En octobre 1937, Hitler a décidé la création d'une armée blindée de dix divisions à mettre sur pied d'ici le printemps 1940. Au moment de l'Anschluss, deux ont participé à l'invasion de l'Autriche et deux autres ont été constituées pendant l'été dont l'une à partir des moyens fournis par l'Autriche.
Hitler peut-il se battre sur deux fronts? Cela paraît poser problème au général Beck, chef d'état-major de l'armée allemande qui est très hostile à une intervention dans les Sudètes et qui prépare un coup d'État au cas où Hitler déciderait d'attaquer.
Tenant à respecter le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, le Premier ministre anglais Chamberlain envoie en mission Lord Runciman qui, à son retour, justifie quasiment les revendications du Reich. Chamberlain va rencontrer Hitler par deux fois et lui fera comprendre qu'il n'a pas l'intention d'intervenir. Gamelin estime que l'armée française sans une aide anglaise ne peut rien faire d'autant que le chef d'état-major de l'armée de l'air, le général Vuillemin, retour du Reich, est convaincu que notre aviation ne tiendrait pas quinze jours face à la Wehrmacht. Dès lors la France accepte la médiation italienne et à Munich, les 29-30 septembre, elle consent au dépècement de la Tchecoslovaquie.
Ajoutons - et cela permet de mieux comprendre les carences françaises - que lorsque l'état-major de l'armée française apprend au printemps 1938 l'existence du plan allemand de 10 divisions blindées, le général Gamelin préconise la mise sur pied de 6 divisions cuirassées, 3 d'active, 3 de réserve. Le président Daladier refuse les divisions d'active et n'accepte que 3 divisions de réserve, et Gamelin obtempère. Il n'y a donc rien de prêt en septembre 1938!
La gauche a dans son ensemble rallié Petain en 1940. Elle a voté les pleins pouvoir à Petain. Dans la débâcle de juin 40 face à l'Allemagne nazi. Tous les politiques ont demandé à Pétain de prendre le pouvoir ... Reynaud président du conseil qui a démissionné voulait une fusion avec l'Angleterre. Projet de Jean Monnet. De Gaulle à rallié ce projet .... projet qui donnait la citoyenneté britannique à De Gaulle en cas de défaite définitive de la France. Tout ce que je dis est bien sûr sourcé. Je n'invente rien.
Forwarded from Maréchal Pétain
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Roman Polanski et les "jeunes femmes" - 1979 - 07mn46 avec Jean-Pierre Elkabbach
« la relation sexuelle avec une personne de 14 ans n'est pas un crime. » « Des pays comme ça existent», assure-t-il. En France, il déclare se sentir en liberté.
« la relation sexuelle avec une personne de 14 ans n'est pas un crime. » « Des pays comme ça existent», assure-t-il. En France, il déclare se sentir en liberté.
« J’affirme qu’un peuple soumis pendant un demi-siècle au régime actuel des cinémas américains s’achemine vers la pire décadence. J’affirme qu’un peuple hébété par des plaisirs fugitifs, épidermiques, obtenus sans le moindre effort intellectuel, j’affirme qu’un tel peuple se trouvera, quelque jour, incapable de mener à bien une œuvre de longue haleine et de s’élever, si peu que ce soit, par l’énergie de la pensée. »
Georges Duhamel, Scènes de la vie future
Georges Duhamel, Scènes de la vie future
Poutine est à éradiquer selon nos gouvernants, mais chez nous, la délinquance explose sans que l'on note une amélioration.
Julie Martin tuée par Hafid Malouk.
Melanie Lemee tuée par Yassine El Aziz.
Aurelie Châtelain tuée par Sid-Ahmed Ghlam
Jessica Schneider tuée par Larossi Abballa.
Stéphanie Monfermé tuée Jamel Gorchene
Marie-Belen tuée par Faycal
Axelle Dorier tuée par Youcef Tebbal
Helana tuée par un Afghan
Mauranne et Laura tuées par Ahmed Hanachi
Marion Courty tuée par Djillali Bellabes
Élise tuée par Jean-Claude Nsengumukiza
Nicole Pallid tuée par Abousalem Nagad
Françoise Combier tuée Mohammed Mettellaoui
les victimes de Brahim Aouissaoui
Julie Puzenat tuée par Akil
Cassandra Lachaud tuée par Khalil Janjoubi
Christelle et son fils tués par Azzedine
Lola Daviet tuée par Dahbia
Muriel Gosse tuée par Djamal Boukhetala
Christine Pasqualini tuée par Abdelraouf Merrad
Eva Bourseau tuée par Taha Mrani et Zakariya Banouni
Isabelle Magueur tuée par Ali Nemri.
Jeanine Dessay tuée par Béchir Tabarki
Sophie Gravaud tuée par Ramiz Iseni
Patricia et ses 2 fils tués par Zoubir Marouf
Nicole Brossard, tuée par Aziz Brimou
Élodie Lloret-Mayor tuée par Nizar Meddeb
Vanessa tuée par Fouad Reddad
Johanna Barth et son bébé tués par Mohamed El Amri
Clara et sa fille Anna de 4 ans tués par un Tunisien
Sandrine et Nadine tuées par Yazid Ghanem
Barbara Blanc tuée par un Algérien en situation irrégulière.
Cette liste n’est absolument pas exhaustive et ne concerne que des femmes victimes.
Julie Martin tuée par Hafid Malouk.
Melanie Lemee tuée par Yassine El Aziz.
Aurelie Châtelain tuée par Sid-Ahmed Ghlam
Jessica Schneider tuée par Larossi Abballa.
Stéphanie Monfermé tuée Jamel Gorchene
Marie-Belen tuée par Faycal
Axelle Dorier tuée par Youcef Tebbal
Helana tuée par un Afghan
Mauranne et Laura tuées par Ahmed Hanachi
Marion Courty tuée par Djillali Bellabes
Élise tuée par Jean-Claude Nsengumukiza
Nicole Pallid tuée par Abousalem Nagad
Françoise Combier tuée Mohammed Mettellaoui
les victimes de Brahim Aouissaoui
Julie Puzenat tuée par Akil
Cassandra Lachaud tuée par Khalil Janjoubi
Christelle et son fils tués par Azzedine
Lola Daviet tuée par Dahbia
Muriel Gosse tuée par Djamal Boukhetala
Christine Pasqualini tuée par Abdelraouf Merrad
Eva Bourseau tuée par Taha Mrani et Zakariya Banouni
Isabelle Magueur tuée par Ali Nemri.
Jeanine Dessay tuée par Béchir Tabarki
Sophie Gravaud tuée par Ramiz Iseni
Patricia et ses 2 fils tués par Zoubir Marouf
Nicole Brossard, tuée par Aziz Brimou
Élodie Lloret-Mayor tuée par Nizar Meddeb
Vanessa tuée par Fouad Reddad
Johanna Barth et son bébé tués par Mohamed El Amri
Clara et sa fille Anna de 4 ans tués par un Tunisien
Sandrine et Nadine tuées par Yazid Ghanem
Barbara Blanc tuée par un Algérien en situation irrégulière.
Cette liste n’est absolument pas exhaustive et ne concerne que des femmes victimes.
Macron dans son discours hier soir parle de la "fibre patriotique des français" pour éviter que l'ogre russe puisse manger la France. La France n'a plus les effectifs et la puissance militaire pour soutenir seul le combat contre Poutine, l'Europe est divisée. Trump veut négocier avec Poutine pour éviter un carnage militaire. Dans une France actuelle hautement faible économiquement, démographiquement et militairement. Il est inconcevable et dangereux de soutenir une guerre. Que doit on faire sur la question ukrainienne, votre avis m'intéresse.
Forwarded from Arnaud Robert 🇨🇵
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🤡 Emmanuel Macron annonce "qu'en 2025, l'UE fournira à l'Ukraine 30,6 milliards d'euros".
Pas d'argent pour la santé, pas d'argent pour la justice, pas d'argent pour les... retraites, mais un flot continu, en milliards d'euros, pour la poursuite de la guerre en Ukraine.
Pas d'argent pour la santé, pas d'argent pour la justice, pas d'argent pour les... retraites, mais un flot continu, en milliards d'euros, pour la poursuite de la guerre en Ukraine.