[CONFÉRENCE]
L’expérience coloniale française en Amérique septentrionale fut régulièrement confrontée à un manque d’investissement humain et financier de sa métropole, le royaume étant absorbé par ses guerres et crises internes.
De 1603 à 1759, la Nouvelle-France s’est construite sur une cohabitation franco-autochtone fondée sur des échanges réciproques, loin d’une domination unilatérale. Il n’y a donc pas lieu de céder à une culpabilité anachronique.
Les leçons à en tirer aujourd’hui ? D’abord, reconnaître que la dépossession traverse les siècles. Ensuite, s’inspirer de la résistance québécoise et acadienne pour la préservation du français en Amérique.
Notre génération doit refermer la parenthèse de 500 ans de mondialisation pour bâtir un avenir plus respectueux des identités et des espaces sociopolitiques.
Je me souviens !
L’expérience coloniale française en Amérique septentrionale fut régulièrement confrontée à un manque d’investissement humain et financier de sa métropole, le royaume étant absorbé par ses guerres et crises internes.
De 1603 à 1759, la Nouvelle-France s’est construite sur une cohabitation franco-autochtone fondée sur des échanges réciproques, loin d’une domination unilatérale. Il n’y a donc pas lieu de céder à une culpabilité anachronique.
Les leçons à en tirer aujourd’hui ? D’abord, reconnaître que la dépossession traverse les siècles. Ensuite, s’inspirer de la résistance québécoise et acadienne pour la préservation du français en Amérique.
Notre génération doit refermer la parenthèse de 500 ans de mondialisation pour bâtir un avenir plus respectueux des identités et des espaces sociopolitiques.
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De 1603 à 1759, la Nouvelle-France s’est construite sur une cohabitation franco-autochtone fondée sur des échanges réciproques, loin d’une domination unilatérale. Il n’y a donc pas lieu de céder à une culpabilité anachronique.
Les leçons à en tirer aujourd’hui ? D’abord, reconnaître que la dépossession traverse les siècles. Ensuite, s’inspirer de la résistance québécoise et acadienne pour la préservation du français en Amérique.
Notre génération doit refermer la parenthèse de 500 ans de mondialisation pour bâtir un avenir plus respectueux des identités et des espaces sociopolitiques.
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L’expérience coloniale française en Amérique septentrionale fut régulièrement confrontée à un manque d’investissement humain et financier de sa métropole, le royaume étant absorbé par ses guerres et crises internes.
De 1603 à 1759, la Nouvelle-France s’est construite sur une cohabitation franco-autochtone fondée sur des échanges réciproques, loin d’une domination unilatérale. Il n’y a donc pas lieu de céder à une culpabilité anachronique.
Les leçons à en tirer aujourd’hui ? D’abord, reconnaître que la dépossession traverse les siècles. Ensuite, s’inspirer de la résistance québécoise et acadienne pour la préservation du français en Amérique.
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BY Luminis Paris
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