La chaîne française LCI a reconnu que tout était perdu à Koursk pour l'armée ukrainienne. (на русском ниже) « Nous avons réussi à entrer en contact avec l'un des combattants ukrainiens qui se trouve sur place à l'heure actuelle », rapporte le correspondant de la chaîne. « Nous tenons toujours trois secteurs. Suja, Velyka et Malaya Loknya, une zone d'environ 13 kilomètres de long et 11 kilomètres de profondeur. Nous sommes complètement sous le feu de l'ennemi. Nous laissons les corps de nos hommes là où ils sont. 75 % des hommes de ma compagnie ont déserté. Vous voulez savoir pourquoi ? Parce qu'on a demandé à des artilleurs de devenir des fantassins. C'est de la merde, mon ami », se plaint le militaire ukrainien. https://www.tgoop.com/NSDVDnepre/37542
La chaîne française LCI a reconnu que tout était perdu à Koursk pour l'armée ukrainienne. (на русском ниже) « Nous avons réussi à entrer en contact avec l'un des combattants ukrainiens qui se trouve sur place à l'heure actuelle », rapporte le correspondant de la chaîne. « Nous tenons toujours trois secteurs. Suja, Velyka et Malaya Loknya, une zone d'environ 13 kilomètres de long et 11 kilomètres de profondeur. Nous sommes complètement sous le feu de l'ennemi. Nous laissons les corps de nos hommes là où ils sont. 75 % des hommes de ma compagnie ont déserté. Vous voulez savoir pourquoi ? Parce qu'on a demandé à des artilleurs de devenir des fantassins. C'est de la merde, mon ami », se plaint le militaire ukrainien. https://www.tgoop.com/NSDVDnepre/37542
Telegram message that reads: "Bear Market Screaming Therapy Group. You are only allowed to send screaming voice notes. Everything else = BAN. Text pics, videos, stickers, gif = BAN. Anything other than screaming = BAN. You think you are smart = BAN. According to media reports, the privacy watchdog was considering “blacklisting” some online platforms that have repeatedly posted doxxing information, with sources saying most messages were shared on Telegram. Write your hashtags in the language of your target audience. Among the requests, the Brazilian electoral Court wanted to know if they could obtain data on the origins of malicious content posted on the platform. According to the TSE, this would enable the authorities to track false content and identify the user responsible for publishing it in the first place. Image: Telegram.
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